Locomovies
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


COLLECTIF VIDEO NUMERIQUE
 
AccueilDernières imagesS'enregistrerConnexion
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

 

 "New York, I love you"

Aller en bas 
AuteurMessage
Damonx

Damonx


Nombre de messages : 854
Date d'inscription : 21/02/2008

"New York, I love you" Empty
MessageSujet: "New York, I love you"   "New York, I love you" Icon_minitimeSam 17 Avr - 9:38

« New York, I love you » second volume du diptyque (pour l’instant) « Cities Of love » conçu par Le producteur Emmanuel Benbihy après « Paris, je t’aime » en 2006 : un projet de court-métrage de différents réalisateurs plutôt connus ayant pour thème l’amour et une ville particulière (Paris, NY, Rio et Shanghai ensuite…).

Je n’avais pas vu « Paris… », j’ai vu NY : j’ai choisi mon camps.
12 courts-métrages mais seulement 11 à l’écran ; celui réalisé par Scarlett Johansson ne sera visible que sur le DVD : cause, divergence artistique entre les 2 partis. Cela veut à la fois tout dire et rien non plus : en fait ça n’a pas plu au producteur mais de par le contrat, le film doit exister (je vous décrypte le problème).
11 autres réalisateurs : Jiang Wen (« les démons à ma porte ») ; Mira Nair (« Salaam Bombay ») ; Shunji Iwai (« Swallowtail Butterfly ») ; Ivan Attal ; Brett Ratner (trilogie des « Rush Hour » et 3ème « X-Men ») ; Allen Hughes (un des frères Hughes avec dernièrement « Le livre d’Eli ») ; Shekhar Kapur « « La reine des bandits » ; « Elisabeth ») ; Natalie Portman (premier film) ; Fatih Akin (« Soul Kitchen » actuellement) ; Joshua Marston (« Maria, pleine de grâce »). Je sais, cela fait 10 mais il faut rajouter un réalisateur chargé de faire les transitions pour faire croire en un seul film du nom de Randall Balsmeyer qui a travaillé comme superviseur d’effets spéciaux en particulier sur l’avant-dernier Woody allen (« Vicky Christina Barcelona » … oui, il y a des effets spéciaux dedans, sûrement Penelope Cruz, pas humaine comme femme, y’a sûrement de l’amélioration digitale).

New York est une grande ville où se vivent d’innombrables histoires d’amours, de rencontres de scènes de vie (11 normalement mais bon le chiffres sont ce qu’ils sont).

Comme je vous l’ai dit, il y a une envie que le film fasse somme et non addition de plusieurs courts-métrages d’où des scènes de transition (des lieux ; des personnages en particulier une vidéaste), des personnages passant d’une histoire à une autre.
Après comme pour toutes expériences du même type : certains courts vont être meilleurs que d’autres ; on va en apprécier certaine et pas d’autres.
Pleins de lieux différents ; d’histoires (comédie, drame, lorgnant vers le fantastique ou le rêve ; d’autres plus sociales).
A noter qu’une des histoires a été écrite par Anthony Minghella qui est mort avant le tournage (le film lui est dédié) et c’est le réalisateur Shekhar Kapur qui l’a tourné à la demande de l’auteur et c’est un des bons segments (pas fan pourtant de Minghella) avec Julie Christie en chanteuse d’opéra française qui rencontre dans un hôtel un garçon d’étage (Shia Labeouf) handicapé et le récit s’envole vers quelque chose de fantastique et poétique même si sombre.
Le film de Natalie Portman fait aussi partie de mes préférés : une petite fille se promenant avec un grand black dans Central Park (un jardin quoi) ; un émotion vraie s’en dégage (les acteurs n’en étant pas).
Une comédie très drôle fait par Brett Ratner (pas mon réalisateur favori).
Le segment fait par un des frères Hugues est très hot avec la présence de Drea de Matteo (dans les « Soprano », dans la dernière saison de « Desperates Housewives », dans un Ferrara) : une rencontre entre amants.
Les petits vieux du segment de Randalls Balsmeyer sont eux –aussi très marrants.

Visuellement tout style et pas facile de voir qui peut faire quoi (on le sait qu’à la fin et pour vous grâce à moi au début) mais avec les scènes de transition, plus difficile à découper qui est qui.

Pas homogène comme je vous l’ai dit, on apprécie plus ou moins les différents segments ; l’ensemble ne raconte évidemment pas une histoires mais des histoires : on peut dire un grand film choral mais pas voulu réellement comme cela.
Je ne sais pas par rapport à la version « Paris » si la qualité y était ; c’est pas désagréable pas transcendant non plus.

Bon film !!
Revenir en haut Aller en bas
 
"New York, I love you"
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» "Synecdoche, New York
» "I love you Philip Morris"
» "Capitalism a love story"
» "A swedish love story"
» "My own love song"

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Locomovies :: Le comptoir :: La critique ciné endiablée de Damon-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser